dimanche 17 février 2013

Lire des livres (c'est interdit)



Les nazis n'étaient pas les premiers à brûler des livres,
ils ne devaient pas non plus êtres les derniers.
Et même leurs propres ouvrages ne devaient pas échapper aux flammes.
Dans le futur, ce sont les pompiers qui se chargent des autodafés.
Ici, c'est au tour du best-seller d'Adolf Hitler de passer sur le grill.
Ce cauchemar de bibliophile est né de l'imagination de Ray Bradbury en 1953.
L'auteur cherchait à se renseigner sur le point d'auto-inflammation du papier :
Les diverses universités et les professeurs de chimie contactés
furent incapables de le renseigner.
En téléphonant au poste de pompiers le plus proche,
il apprit que le papier s'enflammait à 233 degrés Celsius,
ou 451 degrés Fahrenheit.



3 commentaires :

  1. bon alors, je voudrais savoir ! c'est bien ou pas de brûler des livres ? et des zifonnes ?

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  2. non, c'est pas bien, mais ça dépend un peu des livres quand même...
    et à 37,2 c'est le calme plat.

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