mercredi 6 février 2013

Lire les classiques


Quelque dix ans plus tôt, Antoine Doinel s'était déjà
découvert une passion pour Balzac,
auquel il avait dressé un autel, au risque de l'incendie.
Hélas, le texte l'aura si profondément marqué
qu'il le conduira à un plagiat involontaire dans sa rédaction.
Le verdict du professeur sera sans appel :
"La Recherche de l'absolu vous a conduit droit au zéro, mon ami."

2 commentaires :

  1. 'petite feuiile', le méchant prof, n'aime pas le copier-coller !
    d'ailleurs, qui aime ça ?

    RépondreSupprimer